Un peu perturbé par mon arrivée dans ce village misérable qu'est Miral, j'ai eu à cœur de retrouver les nouveaux compagnons de route d'Andalt. J'ai eu vite fait de retrouver les deux humains et l'amoureuse des arbres. Comment ce nain avait-il pu supporter ces trois personnes? Peut-être étaient-ils moins lamentables que les descriptions du nain ne le laissait penser. J'ai donc essayé d'être sympa avec eux à la première rencontre. Impossible, ils m'ont rapidement insupporté. C'est tout, j'étais bien obligé. Après une prise de contact et des présentations simples mais efficaces, un mage a oser me déranger. Un mage et son ami peau-verte. Me déranger moi? Horef Benasroth Gesserit. Que me-voulait-il? "Je connais ce nain!" C'est bien, mais je m'en contre-fiche. "Non, mais je le connais". Je continue de n'en avoir rien à faire. Bon, qu'il nous suive, du moment que son compagnon verdoyant ne m'approche pas. Nous décidons d'aller vérifier s'il ne reste rien au camp qui avait fini en cendres. Tiens, des cartes? Oui, des plans même. Cool, on en fait quoi? Quelle journée...Se coltiner ces blaireaux et trouver des plans sans importance. J'aurais mieux fait de rester couché, c'est simple. On ramène quand même les plans au village, sai-ton jamais, peut-être un des pécores du village saura à quoi se rapportent ces plans. A peine rentrés, nous sommes invités à la demeure du bourgmestre. On y va? Avec le voleur et le monstre? Okay...après tout, je suis pas responsable d'eux. Môsieur Raven nous explique que les plans sont ceux d'une mine abandonnée. Oui, et? Faut y aller? Pourquoi faire? Sauver les enfants? Bon, bah c'est des gamins, ils ont rien fait de grave, et je vais pas cautionner l'esclave des enfants, il y à des limites. 3 Jours de marches dans la forêt. Avec, pour couronner le tout, des attaques de gobelins, et des attaques de loup. Mais quelle merde...Vivement qu'on arrive à la mine. Quoique, arrivés là-bas, on tombe sur des orques. Entre le puant de notre groupe, les gobelins dans la forêt et les orques, ont aura presque fait le tour des choses horribles. Bon, grâce au roublard, on trouve quand même une entrée dissimulée. Enfin dissimulée avec de la fumée qui en sortait, on fait plus discret... On descend, on tue discrètement, on repart. Discrètement avec un demi-orque, un guerrier débile et une elfe, c'était bien d'y croire. Après moult combats difficiles (je dois bien le reconnaitre, ils avaient leur utilité les mulets) on réussi à retrouver les enfants, et aussi une façon de se rémunérer nous même. Par contre, chose moins amusante, il semblerait que les orques et leurs congénères n'avaient pas l'intelligence (j'arrête pas de le dire, personne me crois) de monter ce genre de plan, et qu'ils travaillaient pour en partenariat avec un certain Wigkles. Je n'ai malheureusement pas la moindre idée de qui s'est. Faudra en parler au nain.