Ordo Dracul

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    Salana Morrison (gangrel)

    fofolla
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    Salana Morrison (gangrel) Empty Salana Morrison (gangrel)

    Message  fofolla Mar 18 Aoû - 12:54

    Salana Morrison


    Je suis née dans les banlieues de Paris. Les quartiers les plus actifs en ce qui concerne les clans, les bagarres, les drogues et surtout les flics, qui tournaient souvent pour qu'il n'y ai pas trop de grabuge. À l'âge de 12 ans, mes parents m'ont inscrite dans un club d'art martial : le full contact. Heureusement pour moi, même en étant une fille, beaucoup me cherchaient les noises. Dans mes études, je n'ai pas eût beaucoup de chance, j'étais nul en tout, dans toutes les matières et mes camarades me détestaient, ils me faisaient les pires crasses possible et imaginables. Mes professeurs avaient pitié de moi et donc ne me quittaient pas des yeux pour qu'il ne m'arrive rien ; pourtant, depuis le club, j'ai toujours su me défendre. Avec les directeurs j'ai toujours été très respectueuse ; je ne voulais gâcher le peu d'avenir que j'avais devant moi. Pendant mes années de lycée, on aurait pu penser que je finirais ma vie en prison, soit pour délit, soit pour crime. J'avais arrêté de subir et avais décidé que je me vengerais de tous ceux qui se foutaient de moi. Sans me vanter, j'en ai envoyé quelques uns à l'hôpital, mais au grand désespoir de mes parents, je n'arrêtais pas les bagarres. C'est grâce à ce club que j'ai compris ce que je voulais faire plus tard, et que ça ne servirait à rien de continuer mes études.

    Donc, à 18 ans, je suis rentrée dans l'armée. Comme simple soldat bien sur. Quelques années plus tard ayant fait mes preuves en, combat à mains nues ainsi qu'avec armement, Mon lieutenant m'a donc proposé de monter en grade : être son bras droit, diriger l'unité avec lui au commande bien sur. Bien évidemment je n'allais pas refuser cette chance. Années après années les promotions et les mutations s'accumulaient. Changeant d'unité en unité, montant de grade en grade – mais jusqu'à un certain point, je ne devais surtout pas remplacer le général, mais j'étais son bras droit – jusqu'au jour où ma dernière promotion me fut proposée. Quand elle m'a été proposé, je sentais que ça serais ma dernière « mutation ». Je savais que je ne reviendrai jamais dans l'armée.

    C'est à 24 ans qu'elle m'a été proposée, Le Général me proposait d'entrer dans les commandos. Je ne trouvais plus mes mots pour lui dire que j'étais heureuse que l'on me propose les commandos. Je n'ai su qu'acquiescer avec un « À vos ordre mon Général » et avec un grand sourire. Le soir même, je quittais tous mes camarades d'arme. Un entraînement plus intensif, des nouveaux camarades, bref une nouvelle vie m'attendait.

    J'étais arrivée en plein nuit, ce qui signifiait pour moi un repos bien mérité, avec la route que j'avais faite. En arrivant devant le bâtiment un homme m'attendait. C'était mon supérieur, il me demanda de mettre mon uniforme et de retrouver les autres commandos sur le terrain d'entraînement. Je n'avais pas eu beaucoup de chance de tomber sur mon chef au moment de mon arrivée. J'étais à peine arrivée sur le terrain que l'un des commandos engageait un combat à mains nues avec moi. Après quelques coups échangés, il se présente comme mon collègue. Soi-disant qu'il avait engagé un combat pour me tester, j'ai encore du mal à le croire aujourd'hui. C'est donc ce collègue qui m'a expliqué que les commandos faisaient des missions en groupe de 4 ; et donc nous deux ainsi que deux autres formions une équipe dite de choc. Enfin, après un entraînement bref pour moi, j'ai pu me reposer. Puis mes journées se répétaient : levé à la même heure, échauffement, entraînement, et permission de quelque heure puis on reprenait l'entraînement.

    Puis 4 ans plus tard, une mission nous à été confiée. Il s'agissait de récupérer une journaliste et son caméraman. On était tous prêt, on voulait faire cette mission. Mes camarades et moi avions préparé un plan infaillible. On devait partir aux premières lueurs du jour, repérer les lieues, et attaquer de nuit. Comme le disais si bien Ghost (le collège qui voulait me testé à mon arrivée), « La nuit, nous ne sommes que des ombres qui se promènent. » Ces noms de code me manquent aujourd'hui.

    En arrivant sur le terrain, le commando Ghost, David me montra une carte des lieues et on répéta le plan avec les deux autres membre de l'équipe, commando Shoot, Hubert, et commando Hack, Olivier (avec des noms de code, pas très recherchés, comme ceux-là, on peut comprendre pourquoi Ghost disait que l'on était une équipe de choc). Ghost parti devant pour libérer un passage ; Shoot, lui, repérait les allés et venus de l'ennemi. Il était un peu notre guide. Quand la voie fut enfin libre, je suivi Ghost prés des cabanons. À ce moment, j'ai senti que quelque chose n'allait pas. La mission se déroula comme prévu, l'ennemi n'avait pas remarquer notre présence, et les victimes étaient libérées ; seul un évènement n'était pas prévu. En repartant, j'entendis un gémissement dans un buisson, il aurai été possible que un membre ennemi se trouvait derrière se buisson. J'avançais discrètement vers le buisson pour voir ce que c'était exactement, un homme était blessé et m'appelai à l'aide. À voir son allure, il se faisait pas parti du groupe de terroriste. J'ai rangé mon arme, relevé et soutenu le blessé pour l'aider à marcher. Grave erreur. À peine l'homme relevé, il me dit :
    - Merci, j'avais si faim.

    Puis une horrible douleur dans le coup me pétrifia. Je me suis faite avoir comme un bleu. Comment un piège aussi enfantin à pu me tromper. Ghost, qui avait remarqué mon absence, était revenu sur ses pas et avait vu la scène, Je me souviens qu'il avait tiré, puis plus rien. Je l'entend encore crier mon nom de code : Tank ! (oui, j'étais la plus forte en combat désarmé)
    Je me suis réveillée dans une grande chambre, magnifique, avec un homme devant la porte. Je n'ai pu voir son visage qu'environ cinq minutes après mon réveil, et c'était l'homme qui m'avait mordu.
    - Bienvenu, dans mon monde, mon cher nouveau soldat !

    Je ne comprenais pas ce qu'il entendait par là, mais, il a eut vite fait de comprendre qu'il devait tout m'expliquer. Mon camarade David, avait essayé de me secourir mais trop tard, j'étais déjà morte. Je n'avais plus que Morlock dans ma vie de morte. J'ai donc décidé (même un peu obligé) de le prendre comme maître.

      La date/heure actuelle est Jeu 19 Sep - 19:38

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